| Le Dhamma de la Forêt |
Dans ce sutta, le Bouddha mentionne de nombreuses situations de vie en déclarant que, si nous avons la chance qu’il en soit ainsi dans notre vie, c’est une bénédiction.
Nous avons souvent tendance à voir le verre à moitié vide. Connaître ce que le Bouddha appelle des « bénédictions » et voir que la vie nous en a offert plus d’une, nous permettra certainement de voir plus facilement le verre à moitié plein.
Nous pouvons faire une liste des bénédictions dont nous disposons déjà et une liste de celles qu’il serait bon d’avoir… et nous nous retrouvons ainsi avec quelques points à travailler pendant ce Vassa ! Il est également possible d’en choisir un seul, un point qui nous semble particulièrement important, et de ne travailler que celui-ci pendant les trois mois à venir.
Ajahn Jayasaro a commenté les deux premières lignes du sutta (Voir son texte ici). Ses réflexions sur la première des bénédictions peuvent nous aider à adapter le reste du sutta à notre réalité quotidienne de la même manière.
Puissent tous les êtres bénéficier de toutes les bénédictions – ce qui est synonyme d’être « fermement établi dans le bonheur », comme le dit le Bouddha.